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Syndrôme de fatigue chronique (SFC)
J'ai eu la chance de découvrir grâce à quatre patientes la "phrase conflictuelle" du ressenti biologique lié au SFC ou encéphalomyélite myalgique.
En effet, ces personnes avaient exactement les mêmes symptômes et lors de l'énoncé de "la phrase" ont réagi avec fortes émotions.
Ces personnes ont une grande volonté "d'avancer" mais sont en proie à une immense fatigue.
La plupart du temps, pour effectuer des tâches ordinaires elles doivent mobiliser toute leur énergie pour en venir à bout et se sentent terriblement diminuées. Elles se disent que leur tête va bien mais que c'est leur corps qui ne suit pas.
Elles doivent calculer au mieux l'utilisation du temps pendant lequel elles pensent pouvoir s'activer autour des actions quotidiennes car si le temps nécessaire est trop important pour elles, elles craignent de tomber d'épuisement et de perdre connaissance
Le fait même de devoir prévoir est un grand stress car cela les remet dans leur conflit qui est: "il y a le projet que je ne puisse aller jusqu'au bout de mon projet".
La correspondance organique du projet, c'est le nerf, l'action c'est le muscle.
Le nerf transmet l'information: projet d'action.
Le projet de projet, cela correspond aux commandes cérébrales, à l'élaboration du projet.
Le problème se passe au niveau du cerveau, centrale de commandes, au "bureau d'études".
Bien sûr, chacun fait des projets quels qu'ils soient, à court, moyen, long terme mais dans l'histoire de vie de ces personnes, une expérience a été vécue et ressentie de telle sorte que le cerveau a enregistré dans le "dossier" projets: "faire un projet ne sert à rien car je ne peux pas le réaliser".
Résultat, lorsque j'ai un projet, il ne sert à rien de se "lancer", de dépenser de l'énergie puisque cela n'aboutira pas donc le cerveau "envoi" le programme qui m'empêchera de dépenser cette énergie inutilement.
Programme de grande fatigue
La prise de médicaments, de sucre ou toute autre chose qui pourrait redonner de l'énergie ne fait qu'accroître le symptôme puisque cela rajoute du stress. (Il ne faut pas que je dépense mon énergie inutilement puisque je ne pourrai arriver au bout de mon action, le projet étant irréalisabl.
Dans certains cas (selon l'intensité du conflit), le médicament utilisé pouvant être efficace à "étouffer" le symptôme, après un court passage de "mieux" cela provoque une crise de fatigue beaucoup plus importante (puisqu'il y a eu "désobéïssance" au programme ordonné par le cerveau)
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Grippe A, grippes en tous genres & vaccination: Les dangers de la PEUR
J'aimerais apporter un éclairage "biologique" sur cette situation de stress générée tant par l'annonce de cette grippe pour la plupart que par l'éventualité d'une vaccination obligatoire avec ce "monstre" technologique supposé pour les autres.
Avec le décodage biologique, on apprend que la grippe, atteinte des bronches avec sécrétions, est la phase de réparation d'un conflit de "Menace dans le territoire spatial" et/ou "Peur d'être séparé de son espace de liberté".
- Phase 1: En effet, si face à une situation conflictuelle pour laquelle je n'ai pas de solution pratique, mon ressenti est:"Je ne suis pas en contact avec l'espace de liberté dont j'ai besoin" afin de faire baisser le niveau de stress émotionnel, mon cerveau commande au muscles des bronches de se relâcher pour agrandir la voie de passage de l'air et à la muqueuse des bronches de s'ulcérer pour augmenter la surface de contact.
(Phrases que l'on entend et utilise souvent dans ce cas: "ça me pompe l'air", "ça me gonfle", "du vent")
Dans cette période, cet espace temps, il y a stress, peur et aucun symptôme apparent. (C'est ce que beaucoup d'entre nous ressentent probablement en ce moment et l'objectif, si c'est celui du "gouvernement mondial" pour arriver à ses fins est atteint.)
- Phase 2: La menace disparaît, l'intrus est dans mon espace ou bien il s'en va. Il n'y a plus de menace, plus de peur.
Au niveau de notre biologie il faut réparer l'ulcération. Les mucosités apparaissent avec tout ce qu'il faut pour "colmater" les bronches puis éliminer (par le resserrement des muscles) tous "les matériaux" de réparation en surplus et, maintenant il faut éliminer l'intrus qui est dans mon espace --> Toux, expectorations, c'est la bronchite.
Si j'ai eu "la chance" d'avoir été en contact avec un virus de la grippe auparavant, dans cette phase de la maladie le cerveau commande au virus d'intervenir car ce dernier est compétent pour réparer trois fois plus vite les bronches qu'une simple bronchite. (Dans la nature hostile, il est important d'avoir rapidement toutes ses capacités).
Donc en résumé, si nous entretenons ces peurs, nous favorisons notre "terrain" immunitaire vers une baisse de sa capacité à nous "défendre".
1 = peur de la grippe --> (éventuellement donc dévalorisation + angoisse face à cette menace = touche le système lymphatique qui justement m'est utile dans le cas d'une maladie)
2 = peur du vaccin --> (Idem)
Dans les 2 cas, menace dans le territoire.
Cela avait déjà bien été préparé avec le "battage" de la grippe aviaire, menace qui vient par l'espace aérien et d'on ne sait quelle direction --> paranoïa
Il faut s'attendre à ce qu'une partie de la population courre se faire vacciner malgré toute la polémique et soit donc porteuse du virus qu'il sera alors aisé de diffuser comme n'importe quel virus de la grippe.
Ceux qui habituellement sont sensibles à la grippe le seront encore plus (vu tout ce qui nous a été dit à son sujet) et les moins sensibles d'habitude, le seront devenus "grâce" ou "à cause" de la médiatisation qui a réussi à orienter les esprits vers un état de psychose paranoïaque.
A noter qu'il n'y aura pas que des symptômes de grippe mais aussi des laryngites des crises d'asthme, dyspnées laryngées, asthmes bronchiques, bronchiectasies, mucoviscidoses, bronchiolites, pneumothorax, pathologies du diaphragme, etc...
(Voir livre de Christian Flèche: Décodage biologique des problèmes respiratoires.http://www.souffledor.fr )
Ces symptômes peuvent apparaître dans la population dans les semaines à venir et sont fonction du ressenti de chacun.
Il peuvent être aussi d'un autre ordre que respiratoire si par exemple le ressenti est: "je dois me défendre contre l'étranger", ce qui vient du dehors alors cela touchera les ganglions lymphatiques --> "Je me sens attaqué, acculé dans un coin, je veux me défendre ou je recherche une protection"
Ou encore, toucher la glande des seins générant un cancer du sein si mon ressenti est: "danger pour la survie de mon enfant", la glande produisant dans ce cas un lait maternel plus "riche" que le lait maternel "ordinaire"
Ou encore toute autre maladie correspondant au ressenti particulier de chacun.
Conclusion: Avoir confiance en nos qualités, rester lucide, vigilant et rester en contact avec SOI afin de ne pas donner pouvoir "à l'autre".
Une bonne prévention selon moi pourrait-être d'observer ce que l'on ressent face à cette situation pour transmuter, transformer la charge émotionnelle y relative.
Bien à chacun de vous. Dans la lumière.
Thomas.
Téléchargement PréventionGrippeA
Téléchargement AGRIPPA de Christian Flèche
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Myopie
Pour quelle raison une myopie augmente-t-elle?
D'abord qu'est-ce que la myopie?
La myopie se traduit par une vision floue de loin. Donc, en quoi est-ce important pour ma biologie de m'empêcher de voir à distance? La distance, le lointain, le futur, l'avenir me mettent en stress..
Alors mon cerveau qui prend soin de tous mes besoins en régulant chaque fonction (le thallamus contrôle les excès et les manques et donne l'information au cerveau qui ainsi peut ajuster le fonctionnement des organes) réagit afin de faire baisser au maximum lestress généré par le ressenti de la situation vécue.
Dans le cas présent, faire "reculer" la position de la rétine (écran sur lequel l'image vient se former) afin que l'image ne puisse s'y former (La rétine s'éloigne donc bien physiquement de la source de stress, solution parfaite pour ce conflit).
"Je me vis comme agressé" Futur = Agression --> ressenti le plus fréquent rencontré chez les myopes.
Autre cause rencontrée: Ressenti: "Je me sens séparé de moi-même, de ce qui est proche. Je dois être présent à moi-même".
Alors pourquoi peut-on devenir encore plus myope en portant des lunettes qui corrigent ce "défaut" visuel?
Vous l'avez bien compris, le fait de porter des verres correcteurs me permettant à nouveau de voir le lointain me remet en stress par rapport à mon conflit.
Ma solution est donc de devenir plus myope encore. "Le danger est visible".
Pour ceux dont la vision reste stable, il va de soi qu'ils ne ressentent plus le stress à l'origine de l'événement déclenchant et n'ont plus d'appréhension face à cela, toutefois, ils ne sont pas à l'abri de se retrouver dans une autre situation qui réactiverait le stress.
Ainsi, le cerveau conserve l'état des modifications physiologiques apportées pour le "cas où", il est prêt à parer à un prochain événement.
"Le danger est parti mais peut revenir".
Enfin, ils sont rares mais vous pouvez en rencontrer qui n'ont plus besoin de porter leurs lunettes de myopes.
Pour ceux-là, le ressenti originel a disparu, soit parce que leur vie s'est considérablement modifiée et donc leur ressenti aussi (La chose n'a plus de sens en eux).
Soit ils ont fait un travail avec un thérapeute et se sont libérés en remontant à la source du stress, exprimant l'émotion et changeant la croyance liées à l'événement.
"Je suis en sécurité" ou bien "De quel danger parlez-vous?"
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Vos dents vous parlent de vous
Vous vivez des situations à répétition, vous pensez que quelque chose "cloche" forcément dans votre vie?
Vous ne savez pas par où commencer?
Alors le dictionnaire du langage de vos dents d'Estelle VEREECK est là pour vous guider.
En effet, chacun de vos "problèmes" dedans (de dent) se retrouve "signé" dans vos symptômes dentaires.
Qu'il s'agisse de simple caries, de dent accidentée, de gencive rétractée, de rage de dent (garder la rage dedans) de leur couleur, de tache, de déchaussement, de leur taille, de leur position, etc., vous serez en mesure de commencer à vous découvrir et de décider d'entreprendre un travail personnel afin de vous libérer de vos carcans qui vous empêchent d'être vous-même avec ou sans l'aide d'un thérapeute.
Comment comprendre le langage de la dent qui s'abîme?
La spécificité de la bouche est d'offrir une diversité de formes sans équivalent.
Si nous n'avons qu'un estomac, deux poumons, etc., nous disposons de trente-deux dents.
La combinaison de ces trente-deux organes, qui sont autant de lettres de notre alphabet personnel, avec la variété des atteintes possibles (carie, déchaussement, fracture, etc.), sans parler de toutes les autres anomalies (agénésies, dents mal implantées, en surnombre, etc.) donne à ce langage son exceptionnelle richesse et sa remarquable précision.
Les possibilités sont infinies. On ne peut trouver deux bouches qui se ressemblent. Comme le visage ou nos empreintes digitales, la bouche démontre notre singularité. Chaque dent (prémolaire, canine, etc.) nous délivre un message particulier.
Comment le traduire? Comment reconnaître le sens spécifique de chaque dent?
Observer les trente-deux sculptures vivantes qui habitent notre bouche est la clé qui donne accès à leur sens.
Il n'y a pas deux dents exactement semblables, chacune est unique par sa morphologie, la zone où elle est implantée, le moment où elle fait son éruption.
A chacune est dévolue une fonction mécanique spécifique qui reflète son rôle à un niveau plus subtil. Ainsi, chaque dent exprime une partie de nous, représente undomaine de notre vie, une qualité, une facette de notre personnalité.
Les molaires et l'ancrage Les molaires, larges et massives, assurent à elles seules l'essentiel de la mastication.
Ce sont elles qui principalement nous nourrissent, matériellement bien sûr, mais aussi sur d'autres plans: affectif, moral, professionnel, spirituel.
Les molaires ont également un rôle important de calage des mâchoires. Elles stabilisent l'édifice qu'est la denture et au-delà sont les garantes de la verticalité de la posture.
Ce sont les piliers principaux de l'édifice extérieur (la denture) et intérieur (la personnalité). Les dents de sagesse et la capacité à se débrouiller seul.
Dernières dents à faire leur éruption, elles viennent clore le cycle de croissance. Leur venue en bouche marque l'entrée dans l'âge adulte.
Les dents de sagesse sortent vers l'âge de dix-huit ans, souvent avec difficulté car il n'est pas facile de quitter les parents pour s'assumer pleinement.
Comme par un fait exprès, les accidents d'éruption (inflammation, douleurs, joue qui gonfle) surviennent souvent en période d'examen.
Les dents du sourire À l'opposé, en pleine lumière, les dents de devant attirent tous les regards. C'est au niveau des dents du sourire qu'on se montre, qu'on entre en relation avec le monde.
Ces dents sont très valorisées dans notre société qui donne priorité à l'image.
Les dents du sourire reflètent notre personnalité. Si elles ne sont pas toujours blanches ou parfaitement alignées, c'est parce que chacun est différent.
En les blanchissant ou en les recouvrant, c'est sa personnalité qu'on tente de masquer. On essaie de rentrer dans le moule standard imposé par la mode. En même temps que la vitalité et l'intégrité de ses dents, c'est un peu de son âme et de son authenticité qu'on perd.
Le sens des atteintes Prendre en compte la manière dont la dent s'abîme, permet d'aller plus loin dans la précision du sens.
Le décodage du type de pathologie dentaire (carie, déchaussement, etc.) aide à comprendre comment la souffrance liée à cette facette de soi est vécue.
Chacun exprime sa souffrance avec ses propres maux. Le corps sait exactement quelle atteinte « choisir » pour traduire au mieux le ressenti de la personne.
Déchaussement = je me défausse Lorsqu'on se sent en position de faiblesse face à une situation qui nous dépasse, on a tendance à développer des problèmes de déchaussement.
Ainsi, trop de charges personnelles et professionnelles pèsent sur les épaules de cet homme dont toutes les dents sont mobiles: « c'est trop pour moi, je renonce.
Trop de travail, trop d'obligations, de sollicitations auxquelles répondre ». C'est la partie invisible, l'os de soutien qui encaisse, jusqu'au stade extrême où les dents se mettent à bouger et où le déchaussement devient manifeste.
Il n'est plus temps alors de faire l'autruche mais de réformer radicalement son mode de vie en l'adaptant à ses besoins véritables.
Carie = carence. Mais de qui, de quoi ? On impute souvent les caries à des problèmes de carences alimentaires (en vitamines ou en minéraux constructeurs de la dent).
C'est vrai, si ce n'est que la carence n'est pas toujours là où on croit. « Je n'ai pas eu de maman », dit la carie sur la première molaire en bas à gauche. « Je n'ai pas été suffisamment admiré ou reconnu », est le message d'une carie sur l'incisive centrale du haut.
C'est cette carence originelle qui crée un terrain favorable à la carie.
Vécu bien avant que la dent ne sorte, le manque affecte le tissu dentaire en formation, qui réagit au stress et se fragilise dès ce stade.
C'est cette carence originelle, bien plus que le sucre par laquelle on tente de la combler, qui cause la carie.
Ainsi, il ne faut pas confondre la cause avec le symptôme. Le sucre qu'on consomme en excès pour tenter d'adoucir ses souffrances est un symptôme du manque, au même titre que la carie.
C'est pourquoi il n'est pas suffisant de supprimer le sucre pour régler le problème des caries, du moins tant que cette suppression s'assimile à une privation.
Comprendre la nature de ses manques et choisir de les combler par d'autres moyens que le sucre est la seule voie possible.
Pour cela, on fera le bilan de ses caries afin d'obtenir une cartographie précise de ses carences d'enfant.
Les dents atteintes indiquent de quoi on a manqué et le côté (droit ou gauche) précise par rapport à quel parent. Ainsi donc, soit vous connaissez quelque difficulté dentaire, soit vous faites faire une radio panoramique de votre bouche et avec ce dictionnaire, vous serez en possession d'une mine d'informations sur ce qu'il y a de plus profond en vous-même.
En savoir encore plus: Lire l'article d'Estelle VEREECK